Sebb - Parallèles lyrics

Published

0 72 0

Sebb - Parallèles lyrics

[Couplet 1] Ce matin j'ai condamné mon téléphone Je l'ai mis en veilleuse entre deux querelles de … Des appels pour des compiles de merde J'ai besoin d'un monde où les choses sont plus sérieuses Je roule vers la BS direction un endroit périlleux Si Columbo était français il aurait ma caisse Mafia Tipo Fiat 91 poste ca**ette Cette rue que t'as jamais vue Sûrement parallèle à la tienne Les mêmes sont là depuis la marelle Un petit créneau devant le café, non merci pas de crème J'vais chercher les croissants, je reviens pas cet aprèm' La bise aux amis, la famille, on me commande un noisette Bruit de cartes qu'on pose, le smic se joue au poker Au courant de tout ce qui se perpètre J'ai tourné dans les banlieues avant le RER E On prend des nouvelles : deux balles dans le bide Lui a pris dix ans,lui six mois Une pensée au "Chinois"… [Couplet 2] 90km/heure sur l'A86 Cap sur le nord du 9.3, l'heure de l'apéritif Poto, t'es pas un criminel mais un trafiquant Artisan de matières premières, pa**e l'échantillon Que je m'en fabrique un Jeune au train de vie étrange, kit mains libres branché H 24 sans calibre, tu m'interroges au sujet de ces grosses cylindrées Série 7, Porsche, Ferrari, V6, Versace cintrés Demande pas à quelle heure ils dorment Si tu vas au taff ils sont déjà dehors Parce qu'ils n'ont pas d'horaires Pour faire des ronds Slalom entre balances et maisons de corrections Là où se font les plus grosses connections Gosses en manque d'affection Tous sous la pression d'un monde parallèle [Couplet 3] L'aiguille tourne sur le parking On parle de rap ou rien du tout De filles cools pas prises de tête Ouvertes à tout, je t'ai vu A ton insu venir peser tes grammes On me dit que tu pa**es Quand ton livreur te met en rade La plupart de mon temps à rien faire Regarder les gens faire Quand tu les entends parler Tu reconnais les gangsters Chuchotent plus de chiffres Que de lettres Ce chahut sur leurs chiffres d'affaires Ça se taille, ressort les dossiers s**uels Les premiers vexés Deviennent vite grossiers Ainsi va en bas des immenses barres de béton Tous en parallèles on se rappelle Quand j'ai le temps, on fait la même