H-Tône - Maison froide lyrics

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H-Tône - Maison froide lyrics

"La lucidité, l’intelligence, ne sont pas toujours des qualités. Enfin, dans l'état actuel, dans la civilisation actuelle, elle conduit certainement aussi à une sorte de folie." J'me sens un peu en colère, là. Souvent, j'tolère Parfois même, reste à couvert, mais bien sûr que j'l'entends, l'tonnerre L'hiver en parle mais, ton ère, j'l'emmerde Quelque soit l'nombre de connards à s'les geler dans les vents polaires "Lalalalalère", "Youpi youpi" et "Tralala..." "La vie d'salaire or not to be", on en est là ? On en est fier même si, l'travail, c'est la santé La santé nous indiffère quand on est soumis à s'vanter Métro/boulot/somnifère. On y est presque Et, quand ça sent l'conifère, "pshiit", un p'tit coup d'Febrez Que demande le peuple ? Des étoiles dans les yeux Sous la télé, un meuble, et du pain, et des jeux Il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour Et il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour Parfois, j'm'épate, même sur une voie qu'est pas la mienne J'vais pas faire comme si ça m'inspirait pas d'peine Y'a pas d'paix. Non, quoi qu'tu m'dises Y'a pas d':"Qu'est-ce qu'on fait après ?" tant qu'y'a pas d'justice Et ton jus d'pisse ? Lève-le bien haut, à la santé des morts Dont ton jeu d'vice a reçu, enchanté, l'effort Des absents qu'auront toujours tort, hélas, enterrés tôt Vantez le fort, chanter le fier, ouais... Vous chanterez faux Alors te ca**e pas la voix. Me ca**e pas les couilles Du coup, on casque à la fin et, enfin, ne pa**e qu'à l'égout ? Je gage qu'à l'étage, c'est calme, et qu'l'instal' est douce Et qu'non sans mal, on s'imagine de quoi nos frasques ont le goût Du coup, tu crois savoir de quoi sont fait les rêves Des amochés qui jouent pas l'jeu dont c'est toi qui fais les règles Non, tu vas pas, d'ta place de roi, sans une once de gène Leur reprocher d'y foutre le feu. Putain, on s'les gèle Il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour Et il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour J'y boite, c'est fou. M'dis pas qu'j'ai faux. Vogue aux vagues Et divague. J'avoue qu'j'y vaque, dévot. S'il se fait tard À la nuit tombée, on peut pleinement voir Comme il s'y est fait art de tituber sur un monde bancal Et l'immonde mentalité qui nous aimante, à lutter Timidement gagne du terrain. Mais t'es rien. T'as pas idée T'es rien qu't'as pas été. Ce chien qu't'as pas aidé Loin de l'idée trop validée "qu'on lui prenne autant qu'il se tait" Et, d'telles sottises, doit-on laisser dire ou penser ? Si telles se disent, va-t-on se sentir offensé ? Au fond, c'est toujours le même son, de même, c'est : Toujours les mêmes au front, toujours les mêmes au frais Le même son, la même scène : Toujours les mêmes au front, toujours les mêmes au frais Le même ton, la même clef : Toujours les mêmes aux fronts C'est vrai qu'il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour Et il fait froid chez vous. Et j'ai du mal à croire Qu'c'est aussi chez moi. J'ai du mal à m'voir dans ces schémas là Et j'crois qu'j'suis fou. J'écume. À la fois J'ai du mal à croire et j'me bâterai pour