Dwayne Rush - Poésies Charnelles lyrics

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Dwayne Rush - Poésies Charnelles lyrics

Es-tu prête à pa**er une soirée mémorable ? A te caler sur mon nuage quand peut s'lever l'orage ? A réchauffer l'climat, quitte à cha**er l'hiver Ce soir le tigre sort pour te bouffer l'hymen Crois-moi, te faire souffrir, on peut tous le faire Oublie ton ex, va lui ca**er sa couille de verre A la vue de tes hanches, la grande foule se lève f** femmes et enfants, moi j'veux ton boule de rêve J'inventerai ton bonheur, j'ai l'esprit visionnaire J't'amènerai au bout du monde, j'serai ton missionnaire J'tiens la reine en échec, tu peux pa**er deux tours Quand nos consciences se perdent dans des aller-retour J'serai le premier homme qui enlèvera tes draps La petite porte de derrière, près d'la cathédrale On fera voguer nos rêves et l'oseille sur l'eau Mon esprit va s'caler sur tes soleils jumeaux (Refrain) Sanguinaire j'te la glisse même quand t'as tes gleré Je te ferai rire, je te ferai pleurer J'te donnerai la vie, la vraie, l'envie d'aimer la vigne Toutes les terres peuvent trembler, quand l'aimée, là, vibre Quand j'me libère de tes yeux, tu ressens un méga vide J'tolère aucune vague de larmes sur un d'mes navires Amoureux, j't'aime à vivre, j'veux surtout pas crever Je te ferai rire, je te ferai pleurer Vingt années d'silence, j't'invite à mon enterrement Adieu la vie d'garçon, j'vivrai pour toi entièrement Adieu l'paquebot, on gagne un appart' et un canot Ce dont tu rêves fait trois fois la taille d'un anneau Nos soirées sont ban*les, plus besoin qu'envie Mais l'amour ne se plaint pas, tant qu'il reste en vie Puis la routine, la pa**ion finit par s'oublier On était mieux avant, quand rien ne nous liait Alors on se ment, on cherche l'étincelle disparue Dans d'autres corps, j'les enchaîne dix par une J'les aimes grandes, bien lotties dans de viles parures C'est quand ta beauté flétrissait que le vice parut On finit par se détruire, chacun refit sa vie J'voulais qu'on garde le cap là où les filles chavirent C'est un corps sans cœur que toutes les dames charmaient J'enveloppe mes désirs dans cette poésie charnelle On voulait vivre la grande vie, on a vécu la mort Suicide empoisonné, notre pièce a une fin amère On n'a jamais su combien coûtaient ces actes Alors on tourne en rond, perdus dans le tesseract J'suis parti trop loin des cieux, tu peux pas m'suivre T'es sûrement l'pire des maux, la seul que j'peux pas fuir Je t'ai sûrement faite rire, un peu trop fait pleurer J't'aimerai toujours, même si j'ai du en crever...