(l'ultime délivrance de l'Ame)
Les yeux livides, s'efface lentement ma vie,
Libérant, un trop plein de souffrances,
mon corp, las d'un douleureux pa**é,
Figé par la peur et la mort.
J'implore la vie de laisser s'enfuir mon âme
de cette prison de lamentation et d'agonie.