S'il fallait qu'un de ces quatres Mon âme se disperse Bien avant qu'elle ne s'écarte Du corps qui la berce Qu'un d'ces quatres Qu'un d'ces jours, la folie Houhouhouhou... S'il fallait qu'à cause d'elle Ton nom s'efface de ma mémoire Que si facilement ma cervelle Se répète du matin au soir
S'il fallait qu'un jour Ce jour se jure de ma folie Houhouhouhou... En somme, si mon âme oublie ton âme Et que mes yeux oublient tes yeux Ce sera le fruit d'la démence Et non la violence D'un aveu Alors avant qu'un d'ces jours la folie... Je t'aime Houhouhouhou... Houhouhouhou...